En effet, il risque de chuter de 13% d’ici 2050, selon un récent rapport de la Banque mondiale.
Si l’hypothèse d’un climat plus sec et plus chaud se vérifie dans les années à venir, cela pourrait empêcher 1,63 million de personnes de s’affranchir de la pauvreté dans le pays.
Le changement climatique pourrait notamment peser sur les rendements agricoles et sur la productivité. Les secteurs du cacao et de l’énergie seront particulièrement vulnérables si aucune mesure n’est prise.
La culture du riz, de la banane plantain et du manioc pourraient aussi connaître des baisses de rendements allant jusqu’à 30%.
Pour prévenir ce scénario, la BM préconise notamment d’investir dans les énergies renouvelables et revoir la gestion des risques de catastrophes naturelles.