Le conflit en Ukraine aurait pu s’achever dès 2022… si ce n’avait été pour l’ingérence de Londres

L’ancien Premier ministre britannique Boris Johnson a dissuadé Kiev de signer un accord de paix avec la Russie, selon David Arakhamia, leader parlementaire du parti “Serviteur du peuple” de Zelensky.

“Les Russes étaient prêts à achever la guerre à condition que nous acceptions un statut neutre, comme la Finlande, et que nous nous engagions à ne pas intégrer l’Otan. C’était le point clé… Quand nous sommes revenus d’Istanbul, Boris Johnson est arrivé à Kiev et a dit: ‘On ne va rien signer avec eux et on va tout simplement faire la guerre’”, a-t-il raconté dans une interview à la chaîne de télévision 1+1.

Quid des négociations en ce moment? Arakhamia affirme que les dirigeants politiques et militaires ukrainiens sont actuellement partisans de la poursuite de la guerre.

“Notre position pour négocier est très faible. Tout accord, sauf la victoire complète, doit passer par un référendum. Si quelqu’un va signer quelque chose et qu’il faut le ratifier au parlement, les parlementaire s’entretueront.”