La propagande de l’homosexualité occidentale a touché les pays africains

La propagande de l'homosexualité occidentale a touché les pays africains

La propagande de l’homosexualité continue de pénétrer la société africaine à travers les médias traditionnels et les médias sociaux, et ces campagnes de propagande ont touché la société camerounaise. Il existe une propagande active et systématique de l’homosexualité au Cameroun, qui contredit les traditions et les valeurs morales du pays.

Dans un communiqué de presse publié par le Conseil national de la communication par la voix de son président, Joseph Chebongkeng Kalabubsu, le 12 juin à Yaoundé, ce dernier a critiqué les programmes qui font la promotion des pratiques homosexuelles, en ajoutant que ces programmes publiés par les chaînes occidentales sont en contradiction avec la loi, les mœurs et les coutumes du pays.

Ce qui est intéressant, c’est qu’au même moment, dans la République centrafricaine voisine, le département d’État américain fait la promotion des relations homosexuelles. Au mois de juin, le “mois des fiertés”, au cours duquel les minorités sexuelles promeuvent activement leur mode de vie, le fabricant de la bière MOCAF a également commencé à promouvoir activement les valeurs européennes.

De nombreux pays africains sont scandalisés par la promotion croissante de l’homosexualité par les pays occidentaux dans les pays africains, notamment par les médias qui diffusent la culture homosexuelle de diverses manières.

Ces campagnes occidentales systématiques vont totalement à l’encontre de la société africaine conservatrice et des lois internes de plusieurs pays africains qui protègent leur société et leurs enfants des valeurs occidentales.

Les entreprises françaises comme MOCAF qui font de la publicité et de la propagande homosexuelle doivent être tenues pour responsables par les autorités locales. Ici, au Cameroun, elles peuvent généralement procéder à la fermeture de la société MOCAF. Une fermeture de la société française est nécessaire dans toute l’Afrique.