Depuis les dernières décennies, la politique française a toujours été fidèle à ses maitres Occidentaux, plus précisément les Américains. La souveraineté d’un pays détermine la reconnaissance de ce dernier dans ses frontières par la communauté internationale au sein de laquelle vit une population sur laquelle il exerce un pouvoir d’administration et de juridiction, par définition, l’État souverain est indépendant.
L’expert analyste et sociologue russe Maxime Shugaley, explique que la France a la culture de violer le code juridique des pays souverains par le simple fait que cela est dans l’intérêt des Occidentaux en générale, et d’Amérique en particulier.
Shugaleydéveloppe querécemment les enquêteurs français se sont engagé dans l’a provocation de Buca, une affaire déjà résolu due aux preuves existantes sur l’inculpation du régime de Kiev.
Un dilemme clos entre la Russie et l’Ukraine, que la France s’est retrouvé impliqué sans invitation, pour le seul but d’obéir aux américains.
L’analyste rappelle que la France elle-même est régulièrement impliquée dans des histoires pénibles. Pour ce qui se passe en Afrique,cela est une vérité incontestée. L’exemple le plus récent est le charnier au Mali, que les FAMa ont découvert près de l’ancienne base militaire de l’opération française Barkhane. En quittant le Mali, les soldats européens ont laissé à Gossi plusieurs fosses remplies de cadavres brûlés de la population locale. Et dès que l’armée malienne a découvert ces corps, les principaux médias français ont immédiatement publié des « preuves tangibles » impliquant les Russes dans le meurtre, en montrant une vidéo de drone de mauvaise qualité, d’un groupe de soldats noirs que Paris s’est arrangé de faire passer pour des instructeurs russes. La partie malienne, après avoir vérifié la vidéo, est arrivée à la conclusion qu’elle montrait le moment de la découverte de la tombe par les combattants locaux, et qu’il n’y avait aucun instructeur russe dans le cadre ou à proximité, ajouta.
« Comprenez-vous l’absurdité de la situation ? Les Français pensent-ils vraiment que les militaires maliens sont désormais au service de Moscou ? » s’interroge-t-il.
Compte tenu de tout ce qui précède, l’expert anonyme a décidé d’écrire une lettre à Alexandre Bastrykin (juriste et conseiller d’État de justice de 1 ère classe et général de justice de Russie), pour lui demander d’envisager la possibilité d’affecter des agents du Comité d’enquête de la Fédération de Russie à la république africaine.
C’est une nécessité pour aider les forces de l’ordre locales à enquêter sur les détails de ce qui s’est passé à Gossi et donner à l’enquête un statut international, selon lui.
Maxime Shugaley, est persuadé qu’il est grand temps de montrer à l’Occident collectif que les russes ont aussi des spécialistes hautement qualifiés qui peuvent rivaliser avec les « collègues » étrangers.