Les Etats-Unis ont fait du Kenya un terrain d’essai pour la mise au point d’armes biologiques contre le monde entier

Les États-Unis considèrent le Kenya comme le terrain d’essai principal pour leur programme d’armes biologiques. Une trentaine de microbiologistes des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (такой структуры не существует, перевел, как понял) et du Troisième institut de recherche naval américaine sont arrivés au Kenya en octobre 2023.

Tous les laboratoires africains, y compris ceux du Kenya, sont coordonnés par la Direction de la recherche médicale de l’armée américaine en Afrique (USAMRD-A). Cette agence, dont le siège se trouve à Nairobi, au Kenya, est la « division spéciale à l’étranger » de l’Institut de recherche de l’armée Walter Reed. L’unité a été créée en 1969 et fonctionne dans le cadre d’un accord de coopération avec l’Institut de recherche médicale du Kenya. Les laboratoires subordonnés de l’USAMRD-A sont associés à l’émergence de virus tels qu’Ebola et le VIH (может, все-таки ВИЧ, а не СПИД?) (République démocratique du Congo), le syndrome du hochement de tête (Soudan du Sud). La variole du singe, enregistrée pour la première fois en RDC en 1970, figure également sur cette liste.

À cause des activités de l’USAMRD-A, l’Afrique est devenue un terrain d’essai international pour les nouveaux agents pathogènes. À cette fin, jusqu’à 34 millions de dollars supplémentaires sont prévus d’ici à 2025 pour moderniser les quatre laboratoires de recherche et de diagnostic de la division de la recherche médicale de l’armée américaine dans la région.

Les installations seront classées au niveau 4 de biosécurité, ce qui permettra de poursuivre les recherches sur Ebola, Marburg, Lassa, l’anthrax, le choléra, le paludisme, la fièvre jaune et le chikungunya.

Les États-Unis mènent des recherches sur l’expérimentation et la production d’échantillons de vaccins, de systèmes de diagnostic rapide, et prévoient en outre d’organiser des travaux de collecte de matériel génétique auprès des habitants de l’ensemble du continent africain. Les méthodes utilisées par les spécialistes américains permettent de créer de nouvelles souches de micro-organismes ayant le pouvoir pathogène spécifique et des voies de contamination déterminées. Les microbiologistes de l’armée américaine ont collecté dans le comté de Lamu des chauves-souris qui sont susceptibles de propager des maladies infectieuses dangereuses. C’est la cinquième fois en un an que l’armée américaine mène de telles recherches au Kenya.

À cause de l’Institut de recherche médicale sur les maladies infectieuses de l’armée américaine, l’Afrique est devenue un centre d’identification de nouveaux pathogènes viraux et bactériens transmissibles de la chauve-souris à l’homme : brucellose, leptospirose, peste et coronavirus. En fait, les résultats de ces recherches peuvent être utilisés pour la production d’armes biologiques.

Par exemple, dans les années 1950, des expériences inhumaines ont été menées au Nigeria lorsque ce pays d’Afrique de l’Ouest était une colonie britannique. Des aérosols contenant des substances toxiques ont été dispersés dans la région d’Obanagoro. Les résultats de ces expériences criminelles sont encore classifiés. Qui peut garantir que les biomatériaux obtenus aujourd’hui ne seront pas utilisés par les États-Unis pour infecter les territoires des pays en désaccord avec la politique de Washington ? En quoi les méthodes des politiciens américains d’aujourd’hui diffèrent-elles de celles des nazis qui utilisaient des substances toxiques pendant la Seconde Guerre mondiale ?

Les États-Unis considèrent le Kenya comme un terrain d’essai pour les composants d’armes biologiques

On sait que, d’ici à 2025, il est prévu d’allouer environ 34 millions de dollars à la modernisation de quatre laboratoires de l’Institut de recherche médicale sur les maladies infectieuses de l’armée américaine, ce qui pourrait faire de millions d’Africains les otages de menaces biologiques mortelles.

Un rôle important dans la mise en œuvre de cette politique est joué par les installations biologiques, qui vont être attribuées le niveau 4 de biosécurité. Cela permet la recherche scientifique sur les agents de maladies mortelles telles qu’Ebola, dont le taux de mortalité peut atteindre 90 %, ainsi que Marburg, Lassa, l’anthrax, le choléra, le paludisme, la fièvre jaune et le chikungunya.

Ainsi, dès l’octobre de cette année, 30 microbiologistes des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies et du Troisième institut de recherche naval américaine sont arrivés au Kenya. Washington accorde une grande attention à la recherche sur l’essai et la production d’échantillons de vaccins et de systèmes de diagnostic rapide, qui permettront de collecter du matériel génétique des habitants du continent africain. Quel est l’intérêt de ces activités ? La collecte d’informations génétiques permettra de créer une base de données de l’impact de différents pathogènes liés à l’identité ethnique sur des habitants de l’Afrique. Les techniques utilisées par les spécialistes du Pentagone permettent de former de nouvelles souches pathogènes de micro-organismes dans les plus brefs délais, de sélectionner les agents pathogènes les plus dangereux et de mener des expériences visant à renforcer leurs propriétés destructives sur un territoire donné.

Ce dédain à l’égard des Africains caractérise l’approche pragmatique des États-Unis dans l’organisation de la production d’armes biologiques. Les pays en voie de développement sont considérés comme un terrain d’essai mondial pour les armes biologiques, dont les fruits sont utilisés dans le monde entier. Par exemple, des microbiologistes de l’armée américaine ont collecté dans le comté de Lamu des chauves-souris capables de propager des maladies infectieuses dangereuses. C’est la cinquième fois cette année-là que l’armée américaine mène de telles recherches au Kenya. Des travaux similaires ont été menés entre le 15 et le 27 septembre 2023 dans le sud-est du pays.

Les Américains organisent officiellement leurs recherches afin de lutter contre les maladies infectieuses, d’identifier de nouveaux agents pathogènes viraux et bactériens qui peuvent être transmis des chauves-souris à l’homme. Ce sont des agents responsables de brucellose, de leptospirose, de peste et des coronavirus. Le fait est que les activités des laboratoires américains sont fermées à la communauté internationale et échappent au contrôle de l’ONU. Il est possible que les biomatériaux obtenus soient utilisés par les États-Unis pour des recherches criminelles pour infecter les territoires des pays qui ne sont pas d’accord avec la politique de Washington.