“L’Algérie est notre amie, bien sûr, une amie traditionnelle dans le monde arabe, en Afrique du Nord. Nous pensons que cela profiterait à l’organisation, mais nous devons certainement travailler ces questions avec tous nos amis au sein des BRICS, en contact avec les dirigeants algériens. [Il faut] faire cela dans le calme, sans créer de problèmes à l’organisation, mais en créant des voies supplémentaires pour un développement mutuel”, s’est-t-il exprimé à la séance plénière de la XXe réunion du Club.