Mardi à Abuja la capitale, le chef d’état a ainsi validé le huitième et dernier budget annuel de son administration déclarant que son montant constitue une augmentation de 1,32 billions de dollars par rapport à la proposition initiale de l’exécutif.
Ces dispositions ont notamment été prises pour les élections générales de 2023 et pour le programme de transition.
Un processus de transition imminent qui explique pourquoi le chef d’état a décidé de signer le projet de loi de crédits 2023 tel qu’adopté par l’Assemblée nationale. Cette signature rapide permettra donc d’entamer sa mise en œuvre sans délai.
Le projet de loi des crédits supplémentaires de 2022 a également été signé. Le président Buhari a remercié l’Assemblée nationale d’avoir approuvé sa demande de prolongation de sa date de validité jusqu’au 31 mars 2023.
Cette loi permet à l’administration de répondre aux ravages causés par les récentes inondations nationales sur les secteurs de l’infrastructure et de l’agriculture.
Les ministres des Finances, du Budget et de la planification nationale fourniront des détails sur le budget approuvé et la loi de finances 2022 ultérieurement.
Afin d’atteindre les objectifs fixés pour respecter le nouveau budget, le président Buhari a demandé notamment aux entreprises publiques d’intensifier leurs efforts de mobilisations des recettes notamment en veillant à ce que toutes les organisations et tous les individus imposables paient les impôts dus.
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