AFRIQUE MEDIA: Bonjour Madame Kevine Yao, vous avez lancé un appareil comme solution qui permet de lutter contre la toxicomanie, les addictions à l’alcool et biens d’autres stupéfiants. De quel appareil s’agit-il ?
Il s’agit d’un appareil laser nasal, à faible portée. Une thérapie alternative sans médicament utilisant un processus appelé photo bio modulation pour modifier l’état des tissus endommagés en stimulant le métabolisme cellulaire accélérant ainsi le processus de guérison. Le laser est composé de photons et d’atomes. Il est sans risque.
C’est une source lumineuse possédant des propriétés particulières: C’est une lumière monochromatique qui est constituée de rayonnements ayant tous la même longueur d’onde. Le principe est simple.
A mesure que la lumière, se déverse dans les tissus, les photons seront dispersés. Le laser réfléchis et est absorbés fonctionnant dans le spectre infrarouge proche de 650 à 1300 nanomètres. Il peut pénétrer dans les structures des tissus profonds et la lumière qui pénètre dans les tissus peut être absorbé par la mélanine h l’hémoglobine, l’énergie de l’hémoglobine et de l’eau, provenant de ces événements d’absorption sera dissipée sous forme de chaleur générant une chaleur apaisante dans les tissus. La cible principale de la photo bio modulation, est le complexe cytochrome qui se trouve dans la membrane interne des mitochondries le cytochrome c’est un composant vital du transport d’électrons en chaîne qui pilote, le métabolisme cellulaire lorsque la lumière est absorbée. Diverses études dans le monde en parlent. C’est le moyen le plus rapide, le plus efficace et sans risque pour la récupération de la toxicomanie.
AFRIQUE MEDIA: Comment cet appareil s’utilise ?
Le produit est composé d’une machine hôte et d’une sonde de traitement au laser nasal appelé sonde de photothérapie. Il est doté d’un minuteur et d’un doseur d’intensité. La sonde se place dans les narines, une fois la séance programmée, et se retire à la fin. Le traitement est indolore.
AFRIQUE MEDIA: Est-il adapté partout en Afrique et à combien ?
Je dirais qu’il est adapté partout dans le monde. Après calcul du coût de réalisation et autres charges, l’appareil revient à 300 000 F CFA. Il peut servir pour plusieurs personnes, à condition de désinfecter la sonde nasale où d’en avoir plusieurs.
AFRIQUE MEDIA: Qu’est ce qui a motivé cette initiative de mettre sur le marché cet appareil ?
Je n’avais jamais imaginé mettre un jour un tel traitement sur le marché. Ce qui a permis les recherches et cette réalisation. C’est l’amour d’une mère pour son enfant. Je n’arrivais pas à me résoudre de perdre également mon fils. Ma famille a payé une lourde tribu face à l’addiction. Certains parmi nous sont génétiquement prédisposés à l’addiction. J’ai déjà perdu ma Sœur aînée, et mon frère aîné pour une addiction à l’alcool. Mon petit frère pour une addiction à la drogue. Tous de même père et de même mère. Pour moi l’addiction rime avec drame.
Quand malheureusement après ses tragédies, mon petit garçon est tombé dans l’addiction à la drogue, ma seule préoccupation était de le garder en vie. Dieu, mon instinct maternel et l’espoir, m’ont poussé à me documenter et à essayer tout traitement susceptible de sauver mon seul garçon. Ce traitement n’est pas le seul que nous avons testé. En Inde j’avais trouvé également un laboratoire fournissant un traitement à base d’herbes, ce traitement nous avait aidés pour ses insomnies et ses troubles digestifs. Celui que je propose aujourd’hui, nous a apporté un résultat plus global. Zéro malaise de sevrage, arrêt de l’envie, et une meilleure attitude, de mon fils.
Nous l’avons testé sur mon cadet tombé dans l’addiction à l’alcool. Effet très satisfaisant. Il n’a plus touché à l’alcool. Grâce à Dieu. Je dois dire que personne d’autres que moi n’était aussi désespéré de trouver une solution. J’avais essayé ce qu’offre l’Afrique à ce jour comme solution, sans avoir des résultats.
AFRIQUE MEDIA: Donc on peut dire que c’est désormais fini les addictions aux stupéfiants ?
Oui et pour cause, la plupart des drogue augmentent le niveau de la dopamine dans le circuit de la récompense exemple: L’ALCOOL, LA NICOTINE, L’HÉROÏNE, DIRECTEMENT.
La cocaïne agit au niveau des terminaisons nerveuses. Elle se lie au transporteur de la dopamine et bloque la réabsorption de la dopamine.
Les différents types de drogue agissent différemment, mais le résultat commun est que la dopamine, s’accumule dans la synapse dans une quantité beaucoup plus importante que la normale. Cela provoque une sur stimulation des neurones récepteurs et est responsable de l’euphorie prolongée et intense ressenti par les consommateurs de drogues. Des expositions répétées à des niveaux élevés de dopamine, provoqués par les drogues désensibilisent le système de récompense, qui ne réponds plus aux simulies quotidien. La seule chose gratifiante et importante devient la drogue. L’unique priorité.
Ce qui fait de la dépendance une maladie chronique, avec beaucoup de dommages sur le corps et ses fonctions. Notre technologie a pour fonction d’améliorer les paramètres rhéologiques du sang. Elle peut augmenter la déformabilité des globules rouges et réguler les fonctions du système immunitaire, endocrinien et nerveux.
Par conséquent, l’effet inhibiteur du laser sur la réponse de coupure de la morphine, peut être atteint en réduisant la tension du système nerveux sympathique. L’hématologie au laser de faible intensité utilise l’irradiation laser de faible intensité sur le sang circulant indirectement, sans des effets secondaires sûrs et non toxiques. Elle peut être utilisée à domicile et elle a un effet curatif
certain sur le traitement des symptômes de sevrage.
Une utilisation fréquente peut faire disparaître progressivement les symptômes de sevrage
et a un effet significatif sur le traitement de l’addiction anti-rechute. Je peux donc dire oui et surtout avec des résultats, sur des personnes qui sont désormais guéris que nous avons un traitement concret sans risque ni effet secondaire pour sauver les personnes que nous aimons de l’addiction à la drogue et à l’alcool.
AFRIQUE MEDIA: Un dernier mot pour terminer ?
J’aimerais dire aux personnes ayant des proches dans l’addiction qu’ils doivent savoir que c’est une maladie. Et qu’ils peuvent les considérés comme n’importe quels malades chroniques. Ils ne sont pas perdus. S’ils sont vivants, tout n’est pas perdu. Prenez ce traitement et suivez-le avec eux. La drogue affecte le comportement. Ils ont besoin de compréhension et d’amour, surtout de patience. Ne baissez pas les bras. Soignez les, et faites des séances avec des psychanalyses pour rétablir vos relations. L’addiction gâche les relations et crée de la méfiance, car généralement les personnes dans l’addiction, mentent et volent. Pour les parents ayant un enfant dans la drogue, qui sont gênés, sachez que je l’ai été également. Pendant que mon fils détruisait son organisme, sans avoir le moindre contrôle, je pensais à mon image et aux regards des autres. Je me suis réveillé quand j’ai vue sur lui des symptômes similaires à ceux de mon petit frère, qui nous a quittés pour les mêmes causes. Voici un traitement à faire en toute intimité. Il marche vraiment. Sauvez vos enfants. C’est la première mission d’un parent. Les animaux affrontent des dangers pour leurs progénitures. L’addiction est une maladie, comme le diabète et bien d’autres.
Merci.