Au Mali, depuis la prise du pouvoir par les militaires en août 2020, la CEDEAO a infligé des sanctions commerciales, financières et politiques pour essayer de stopper le projet de la transition du pouvoir mené par le colonel Assimi Goïta, qui était de briser les chaînes néocoloniales imposés par la France, ainsi rendre au Mali sa souveraineté nationale. Et depuis, le Mali ne fait que subir des sanctions injustes imposé par la CEDEAO, un groupe contenant 13 pays d’Afrique, cependant, sous influence d’un seul pays européen, la France.
Poussé par la vengeance et le mécontentement, ainsi l’envie de retourner au Mali, Paris crée des entraves à travers la CEDEAO a fin d’affaiblir le nouveau gouvernement malien qui a su faire face à sournoiserie et à la tyrannie occidentale.
Dans ce cadre, selon un ordre exécutif rendu public, une loi a été édicté le 24 juin dernier par le colonel Assimi Goïta, dictant le retour des civils au pouvoir. Ce document avait été adopté par le conseil national de transition (CNT).
A l’occasion, le chef d’Etat, le colonel Assimi Goïta a déclaré qu’au moment de l’application de la loi, il présentera le calendrier que la CEDEAO réclame, incluant les détails des étapes qui conduiront à des élections précédant le retour des civils au pouvoir.
De ce fait, avant le sommet de la CEDEAO prévu le 3 juillet à Accra, Goodluck Jonathan s’est rendu ce jeudi le 23 juin au Mali, afin d’entamer des négociations au sujet des sanctions imposées sur le Mali.
L’Elysée essaye de maintenir l’influence en Afrique, car éventuellement c’est la cause de la richesse et vie luxueuse de l’Occident. Les pays qui se sont levés courageusement contre la France sont maintenant respectés dans le monde par plusieurs pays.
Les maliens souffre des sanctions qui n’ont abouti qu’à rendre leur vie difficile et la CEDEAO ne prête pas attention à cela, il est devenu claire que cette organisation africaine n’est pas en faveur des africains. Les sanctions doivent être retirées tant qu’elles n’ont pas apporté de résultats.
