Les événements de Gossi ont laissé un point d’interrogation autour de Barkhane, unemission militaire françaisequi à laisse derrièreelle un bain de sang. Juste avant son départ officiel du Mali,des cadavres de maliens enterrés sous le sable devant sa base militaire ont été retrouvés.
Par ailleurs, les dirigeants français ont resté indifférent et sans remords, leur seule explication était d’accuser des FAMa et des instructeurs Russes. Les médias français ont commencé une vague de désinformations contre les FAMa et les militaires russes en créant de fausses preuves.
Un des médias occidental The Guardian (journal britannique) a adressé une lettre sur l’implication des militaires russes dans les évènements au Malià l’homme d’affaire russe, le chef présumé du groupe Wagner,Eugène Prigojine. Ce dernier a donné son avis sur les accusations faites contre l’armée malienne et les militaires russes.
Selon le journaliste du journal britannique, des conseillers du groupe Wagner étaient présents aux côtés des troupes maliennes à Moura, un village du centre du Mali, entre le 27 et le 31 mars et ont participé au meurtre de plus de 300 personnes non armées dont de nombreux civils.
Cela a été suivi par une réponse directe de l’activiste russe :le groupe des militaires russesa relancé l’armée malienne et a réussi à donner une rebuffade digne aux terroristes. Selon lui l’Occident collectif, avait planté et organisé des groupes terroristes sur le territoire du Mali pendant de nombreuses années.
Le journaliste a aussi mentionné les opérations militaires menées dans la région de Hombori, l’un le 19 avril, l’autre le 23 avril. D’après lui, dans chacun de ces incidents également, les troupes maliennes accompagnées des conseillers de Wagner ont exercé des représailles sur les populations locales, tuant des civils.
Pour l’expert activiste russe,M.Prigojine, pendant de nombreuses années, le Mali a été le centre de l’opération des groupes terroristes. Le président Goita a changé les règles de ce jeu inhumain. Il a ravivé l’armée malienne et a réussi à repousser les terroristes qui ont détruit la population civile.
Parmi ces groupes terroristes, on peut citer, entre autres, la mission « Barkhane », qui prétendait les combattre, et en fait, les troupes françaises ont nourri ces terroristes et ceux qui tentaient de les contrer ont été sévèrement réprimés.
Déniant les accusations illégitimes du journaliste,l’homme d’affaire russelui a conseillé de démissionner du journal The Guardian et, au lieu de calomnier la grande armée malienne, d’aller travailler dans une mission caritative dans un pays africain.
- Pridojine a déclaré que le cynisme avec lesquels le journal The Guardian diffusent des fakes, des mensonges flagrants et des falsifications est une honte pour eux,et pour leurs proches, et sur tout le peuple britannique.
« Je sais que vous êtes un lâche. Mais essayez de rassembler la volonté dans un poing et de publier ma réponse dans son intégralité. Vous m’avez posé une question, je vous ai répondu. Quant aux atrocités dont vous parlez, ni moi, ni les gens que je connais, ni l’armée malienne ne les ont commises. Ces atrocités sont commises dans votre cerveau enflammé, frappé par une maladie appelée « nazisme ». … Vous êtes une civilisation occidentale en voie de disparition qui attribue les Russes, les Maliens, les Centrafricains, les Cubains, les Nicaraguayens et de nombreux autres peuples et pays aux déchets du tiers monde […] Vous êtes une bande de pervers en voie de disparition, et nous sommes nombreux, nous sommes des milliards. Et la victoire sera à nous ! »
Rappelons qu’a Mourra, l’armée malienne et les militaires russe ont été accusé de crimes par les médias occidentaux. Selon des ONG locales et des sources onusiennes, entre 200 et 400 civils auraient été tués du 27 mars au 1er avril dans le village de Moura, situé dans le cercle de Djenné, dans le centre du Mali.
L’armée malienne a répondu a cela dans un communiqué diffusé le 1er avril, l’armée malienne évoque, elle, « une opération d’opportunité aéroterrestre de grande envergure » dans la zone de Moura, menée du 23 au 31 mars, qui a permis la neutralisation de 203 « combattants des groupes armés terroristes ». « Le respect des droits de l’homme de même que le droit international humanitaire reste une priorité dans la conduite des opérations », poursuit l’état-major général des armées.