Sept États des États-Unis à savoir l'Ohio, l’État de New York, le Connecticut, le Massachusetts, le Maryland, la Géorgie et la Virginie ont annoncé mardi qu'ils suspendraient l'utilisation du vaccin contre le Covid-19 de Johnson & Johnson après que les agences de santé fédérales américaines aient demandé de le mettre en pause.

L’innovation numérique offre au continent africain une large gamme d’opportunités permettant de développer son économie. Force est de constater que plus de la moitié de la population mondiale utilise Internet si l’on s’en tient aux chiffres publiés par l’Union Internationale des Communications. Une croissance assez remarquable observée en Afrique où le pourcentage d’utilisateurs est passé de 2,1% en 2005 à 24,4% en 2018. Des données qui d’ailleurs ont connu une progression ces dernières années.

Brazzaville, le 15 avril 2021 — Plus de 13,6 millions de doses de vaccin ont déjà été administrées en Afrique, dont 12 millions de doses du vaccin AstraZeneca. À ce jour, la plupart des rapports faisant état de manifestations postvaccinales indésirables ne concernent que des effets secondaires bénins ou modérés. Jusqu’ici, aucun cas de trouble de la coagulation sanguine n’a été notifié après la vaccination.

Le président des Comores, Azali Assoumani, s’est fait injecter samedi le vaccin chinois de Sinopharm contre le Covid-19, ce qui marque le début de la campagne de vaccination dans ce pays africain.

If you frequent news outlets these days, there is a high probability of stumbling on negative, sloppy news reporting and analysis that portray the Eritrean Defense Forces (EDF) in the most deprecating and acrimonious light. No doubts several media outlets are guilty of such misinformation.

Depuis quelques jours Les soldats érythréens et éthiopiens sont dépeints, dans des affreux récits, comme des hordes en maraude qui tuent et violent des civils sans discrimination à volonté, sans aucune douleur morale ni responsabilité. Une véritable campagne de désinformation mise en œuvre par une certaine presse. Des médias se livrent à un jeu de reportages et des analyses négatives bâclées qui dépeignent les Forces de défense érythréennes (FDE) sous la lumière la plus dépréciant et la plus acrimonieuse.

« Cette peine maximale, je l’aurais aussi requise si les accusés avaient été là, commence l’avocat général. Car ce qui la justifie, c’est la violence inouïe des faits et montrer qu’on n’assassine pas impunément nos soldats quand ils sont là pour maintenir la paix. » Et le magistrat de détailler les éléments contre les accusés : identification, préméditation… Car, insiste-t-il, « la France ne se venge pas, elle condamne avec ses règles, justes et démocratiques. En vous proposant cette condamnation, j’achève de faire mon métier. J’entreprends maintenant de faire mon devoir. »

Crainte des effets secondaires, doutes sur la gravité de la maladie, scepticisme vis-à-vis de la vaccination… Les habitants ne se bousculent pas pour recevoir leur dose.

Depuis 2015, les écoles burkinabè subissent des attaques terroristes allant jusqu’à des viols et des meurtres. Mahamadou Sawadogo, spécialiste de l’extrémisme violent, indique à Sputnik que les habitants sont entrés en contact avec ces groupes armés qui leur auraient communiqué l’une des exigences de la paix: l’enseignement de l’arabe.