Cette décision actée le 5 janvier par le gouvernement burkinabè vise à financer la lutte contre le terrorisme.
De plus, l’État va prélever:
1% sur le salaire net des travailleurs du public et du privé;
25% sur les primes au niveau des départements ministériels et des sociétés d’État et des EPE.
Cet argent ira au Fonds de soutien patriotique (FSP), qui prend en charge les opérations anti-terroristes. Les prélèvements sont aussi censés améliorer l’équipement des forces combattantes et la prime des Volontaires pour la défense de la patrie.
De son côté, le Président de la Transition renonce toujours à son salaire de chef d’État.