La diaspora equato-guinéenne en Espagne, l’incarnation du mensonge contre Miguel Oyono Ndong Mifumu

Le 29 octobre 2022, Paris la capitale française était en ébullition. A cause de la manifestation organisée Place du Trocadéro, par le collectif des associations africaines de France, en faveur du président de la Guinée Equatoriale, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. Un coup d’essai réussi. Une grande première qui a tapé dans le mil les rivaux de ce dernier qui croyait que l’hexagone leur était acquise. Les opposants Equato-guinéens se sont réveillés groggy, par ce qu’ils ont compris que les choses ne seront plus jamais comme avant. Et surtout parce que le collectif des associations de la diaspora africaine de France a décidé de ne plus jamais laissé vilipendé ce travail infatigable, exemple d’une Afrique qui bouge. Evidemment, il leur fallait trouver un bouc-émissaire. Une tête à claque, pour hausser le ton. Les mêmes se sont rués sur leur « cible » favorite, le représentant de l’Etat de Guinée-équatoriale en France, l’ambassadeur de la Guinée-équatoriale, en France, Miguel Oyono Ndong Mifumu. Qui n’était qu’invité, qui n’a pas fait de discours, mais juste improvisé un mot pour dire à ses Africains qui se sont réunis spontanément en faveur de son pays, « merci », merci pour leur solidarité. Ces opposants l’accablent pour rien. Tout juste et tout simplement. En tout cas sa brève apparition n’est pas un méli-mélo. Mais un geste de reconnaissance. Au nom de son pays. Pas de quoi s’affoler. Et surtout pas de quoi s’égosiller et chercher des pythons de dix mètres. Sortir des pics contre un homme habitué à prendre des coups parce qu’il défend son pays. Parce qu’il le représente avec fierté, abnégation, sagesse et diplomatie. Miguel Oyono Ndong Mifumu a toujours tout fait pour renforcer les liens entre Paris et Malabo, quand certains tentent de les mettre dos-à-dos. Il n’est pas là, pour jeter l’huile sur le feu. Il est là, il le répète pour raffermir et renforcer. Alors avis aux Tartufes, laissez ce brave homme tranquille ! Le mélange des genres, les cognées tous azimuts, les tirs au flanc, sans raisons valables, c’est l’option des faibles. Et de ceux qui se savent